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 l'histoire de Kamm

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Kamm

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MessageSujet: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeJeu 19 Mai - 21:50

Kam (avec 1 M) c'est pas un sacrieur! lol Non c'est un personnage que j'ai inventé et dont je créé l'histoire! ^^

une aventure qui se veut compliquée et tissée de malheur! je fais dans l'héroic fantasy, du moins j'essaye!

Kam, c'est le batard d'un prince qui est caché chez une nourrice au fond de la cambrousse! Mais quand il a cinq ans, le roi décide de le reprendre et détruit son village quand il voit qu'on lui resiste!

Il est ensuite éduqué au chateau où il ne se sent pas chez lui puis il est envoyé chez le chef religieux pour le tuer ... oui il est éduqué a etre un assassin avant d'etre roi! ... et là bas il est demasqué et renvoyer au chateau presque mort...

Donc il s'enfuit avec son oncle (prince non héritier) et la ses ennuis continus...

mais je veux pas vous ennuyer trop longtemps et je ne peut poster ce que j'ai écrit c'est trop lourd pour un forum...-__-
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Cline
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeVen 20 Mai - 11:11

loooool tu me laissera lire moiiii? geek
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeVen 20 Mai - 13:17

oui mais pour l'instant y a qu'une quinzaine de page! ^^
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Lord-Jin
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeDim 22 Mai - 14:24

ben fait comme moi , coupe par petit chapitre Cool

(petite copieuse va Twisted Evil ) lol!
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeDim 22 Mai - 23:18

XD j'inventais des histoire que tu suçais encore ton pouce jeune boufton! king

Et puis c'est vraiment long ... trop trop long ... et puis la l'histoire avance pas je vais attendre un peu! XD
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Lord-Jin
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeMer 1 Juin - 22:08

La mienne aussi est longue , très très longue peut-être sans fin , j'ai du mal a avancer et me creuse souvent la cervelle scratch

Mais un conseille ne déséspère pas , Grand Boufmouth geek


A quand le 1er chapitre ? afro

Le combat perdu d'avance est celui qui est abandonné
Citation d'un grand sram vaillant...
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeJeu 2 Juin - 13:57

Bon alors je met les première lignes! king faites pas attention aux fautes d'ortographe et aux phrase mal tournée c'est un premier jet ! Embarassed

la sacre = une église!

Chapitre 1 : destruction

De la fumée s’élevait au loin et l’odeur parvenait déjà jusqu’à moi quand ma nourrice m’attrapa par le poignée pour se réfugier dans la Sacre. C’était le seul bâtiment de pierre de Finage et donc le seul qui ne brûlerait pas sous les flammes. Nous habitions dans une petite maison loin du centre ville et, quand nous arrivâmes devant le bâtiment, les portes se fermaient déjà. Je me souviens que ma nourrisse cria d’attendre et les battants se rouvrirent pour nous accueillirent. Nous rentrâmes en courant et rapidement l’obscurité nous englouti. Il y avait beaucoup trop de monde et il mettait impossible de bouger sans effleurer quelqu’un. Des murmures angoissés et des gémissements emplissaient mes oreilles et la peur grandie en moi. J’osais poser une question :
_ Qu’est ce qui se passe ?
_ Chut ! Me répondit ma nourrisse.
Mais une personne plus conciliante me répondit :
_ C’est l’armée du roi ! Ils cherchent quelqu’un… mais je ne sais pas qui.
Ma nourrisse éclata en sanglot et se lamentant qu’elle savait qui ils voulaient mais qu’elle ne pouvait pas si résoudre. Elle me serra fort contre elle et ma peur se transforma en angoisse. Ma respiration devint difficile et finalement la panique me gagna. Je regardais autour de moi pour trouver une sortie et me débattais pour pouvoir m’enfuir. Mais elle me tenait trop bien contre son ventre en me répétant que tout irait bien. Je me figeais quand j’entendis des cris de l’autre côté de la grande porte en bois. Quelque chose se fracassa dessus et je vis les battants s’ébranler. Les yeux écarquillés, j’attendais la suite. Ma nourrisse essayait de m’entrainer vers le fond de la Sacre mais il y avait trop de monde et il était difficile de s’y déplacer. La porte s’ébranla de nouveau, puis une troisième fois. J’entendis un homme évoquer un bélier. Les battants ne tarderaient plus à céder et tout le monde serais à la merci des soldats.
De la fumée commençait à envahir l’air. Elle passait par les hautes fenêtres situées au plus haut des murs. Je toussai et m’enfoui le nez dans la jupe de ma nourrisse, qui passa sa main dans mes cheveux. Tout d’un coup, un courant d’air chaud vint agiter quelques mèches et je compris que la porte était ouverte quand la foule se déversa en m’emportant vers l’extérieur. Je fus séparé de ma nourrisse et emporté dans la cohue. Je réussi à reprendre pied et me faufilait entre les jambes des passants à la recherche d’une tête connue. Je débouchai dans une petite ruelle. Je savais où j’étais et j’avançais quand je vis des flammes lécher les murs des maisons. Elles se répandaient rapidement, le vent et la sécheresse aidant. Je fis demi tour en courant mais me retrouva coincé dans la ruelle principale. Je trébuchai et, à ma grande horreur, je reconnu le corps du meunier étendu par terre, gisant dans son propre sang. Je poussais un cri d’horreur, me releva et recommença à courir en criant le nom de ma nourrisse mais seul le bruit des flammes et le galop des chevaux me répondaient. Je me cachai derrière un abreuvoir à cheval. Je trempai mes mains dans l’eau pour m’en aspergé, pensant que cela me protégerais du feu. La chaleur augmentait rapidement dans mon dos et les flammes se rapprochaient rapidement, mais je n’osais pas sortir de ma cachette. Des larmes coulèrent sur mes joues mais le reste de mon corps était pétrifié de terreur et même si j’aurais voulu fuir, je n’aurais pas pu. Je ne sais pas combien de temps je restais planquer derrière cet abreuvoir. Je fus tiré de ma peur par les flammes qui me léchaient le bras. Je me retirai vivement et recula doucement. Quelqu’un m’attrapa par derrière :
_ vient petit ! Faut pas rester là !
Et il m’entraina avec lui dans sa course. Il se dirigeait vers la sortie de la ville. Nous longions la rue principale. Des maisons en feu et des corps jonchaient la rue et emplissaient l’air d’une odeur répugnante, malgré la vitesse, je distinguais chaque détail, je reconnaissais des visages et gravais ces moments dans ma mémoire. Brusquement, je trébuchais et m’étalais par terre. Je regardai la raison de ma chute et m’aperçu que mon sauveur tremblait, allongé sur le sol. Du sang commençait à s’étaler entre les pavés. Je levai les yeux et vu un homme à cheval, un arc à la main et les insignes royaux sur son pourpoint. Il descendit de cheval et m’empoigna, j’essayais de me débattre en vain, il avait beaucoup de force et un enfant de cinq ans n’avait pas beaucoup de chance face à un grand gaillard comme lui. Fier de sa prise, il m’installa sur son cheval et monta derrière moi. Je criais et battais des jambes et des bras pour me défaire de son emprise mais rien n’y fit. Il m’emmena sur la place principale où je fus jeté à l’arrière d’une charrette. Deux soldats armés d’épée étaient chargé de me surveiller. Je remarquai d’autres enfants assis le plus au fond possible. Je les rejoignis et me blotti au milieu d’eux. J’étais visiblement le plus jeune. Une jeune fille serait contre elle une plus jeune, qui sanglotait. Elle avait une écorchure le long du bras qu’elle serrait dans sa main. Un garçon se taisait dans l’autre coin de la carriole, le regard perdu dans le vide.
Un accès de rage me poussa à me lever et à courir vers les deux gardes afin de m’enfuir. Mais à peine debout l’un deux me mit un coup dans le ventre avec le pommeau de son épée, et l’autre m’assena un coup de poing dans le dos. Je m’écroulai mais ne perdit pas conscience. La douleur était difficile à supporter et je ne tentai pas de me relever, ni même de ramper jusqu’au fond de la charrette. J’attendais simplement la suite. D’autres enfants arrivèrent et bientôt nous fument trop nombreux pour que je puisse rester allonger, un soldat me redressa et m’assis contre le bord. Ma vision était floue et j’étais à la limite de l’évanouissement. Je repensais une dernière fois à ma nourrisse avant de sombrer dans l’inconscience.
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 4 Juin - 14:21

ça sert à rien que je le mette si personne ne commente! ^^"
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 4 Juin - 14:38

Je l'ai lu et c'est génial , vivement la suite si j'ai pas pu te répondre c'est pacque je me souvenai plus de mon mot de passe
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 4 Juin - 20:56

-__- mais t'as mis la suite de ton histoire entre temps! ^^" king
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeDim 5 Juin - 19:17

Ouais , mais j'avais pas vu que t'en avais fait un Rolling Eyes et apres je l'ai oublié mon mot de passe Neutral , de toute facon ca change rien , elle est géniale ton histoire study lol!
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeDim 5 Juin - 21:10

Merci c'est gentil! ^^ tient tu mérites la suite! ^^


Je fus réveillé par une douleur dans le dos. Un jeune garçon me donnait des coups en dormant, juste à l’endroit où le point du soldat avait frappé plus tôt dans la journée. Il faisait nuit noir et je ne percevais qu’un petit feu, proche de la charrette, mais pas assez pour me réchauffer. La nuit était froide et je n’avais pas grand-chose sur le dos. Je me redressai et aperçu l’ombre des soldats autour du foyer. Ils ne dormaient pas et chuchotaient en mangeant une sorte de gruau. En me redressant, le bois de la charrette grinça et ils s’arrêtèrent de parler en se retournant vers moi. L’un deux se leva pour venir voir ce qu’il se passait.
_ Qu’est ce qui se passe ? demanda-t-il d’une voix forte.
Certains enfants se retournèrent dans leur sommeil, gênés par le bruit soudain, mais aucun ne se réveilla, du moins ne le firent-ils pas savoir, et comme je n’osais pas répondre, de peur qu’il me frappe comme il l’avait fait plus tôt dans la journée, je restais immobile en attendant qu’il se détourne. Il me sembla que cela dura une éternité. Quand l’homme retourna s’asseoir avec ses compagnons près du feu, je m’assis au milieu des autres enfants, sanglotant. Je pensais à ma nourrisse. Je ne savais pas ce qu’elle était devenue et je me surprenais à espérer qu’elle viendrait me chercher à l’aube, comme si rien ne s’était passé. Mais l’odeur acre de la fumée me rappelait que trop bien que Finage avait brûlé et que beaucoup d’hommes étaient mort. Je me demandais aussi ce qu’il comptait faire de nous. Ils avaient apparemment rassemblé beaucoup d’enfants dans la charrette.
Au fil de mes pensées, je décidai qu’il me fallait fuir. Je ne tenais pas à avoir affaire une fois de plus avec ces brutes. Je me redressais une nouvelle fois en faisant attention cette fois à bien équilibrer mon poids sur mes deux jambes. Je passai au-dessus d’une petite fille, puis d’une autre jusqu’à atteindre l’extrémité du chariot. C’était encore haut pour un enfant de cinq ans mais je me persuadais que c’était ma seule chance et je sautais. Je retombai sur mes pieds et chavira ensuite sur mes genoux. Aucun des soldats ne manqua mon geste et deux se levèrent pour me rejoindre. Je me glissa aussi rapidement que je pu sous la carriole, là où les hommes ne pouvaient m’attraper sans s’y glisser eux-aussi. L’un des hommes pesta et s’allongea sur le sol pour me rejoindre. Je n’osais pas le regarder et j’enfuis ma tête dans mes genoux. Quand ces mains approchèrent, j’agitai violemment mes jambes et je les talonnai. Le garde voulu se relever et se cogna la tête sur le sol de la charrette.
_ Vient ici morveux !
Et plus il avançait, plus je reculais. La charrette commençait à bouger. Les enfants avaient du se réveiller et cherchait à savoir ce qui se passait au lueur de la lune.
_ Taisez-vous ! Restez dans la charrette ! criait un garde en essayant de contenir les enfants.
Tout d’un coup, je vis la lune et les étoile s’élevés au dessus de ma tête et quelqu’un m’attrapa par les épaules, me redressa et me maintint par le coup. Sa main était rude et forte et je n’osais plus bouger. Il me jeta au sol devant le garde qui me poursuivait quelques minutes plus tôt sous la charrette et il me donna un coup : je n’oublierais jamais le bruit de mes os de mes côtes qui craquèrent sous son pied. Je suffoquais. Je n’arrivais à respirer que par instinct de survie. Certains enfants avaient crié mais ils s’étaient tu quand le soldat donna un coup de point dans le bois :
_ la ferme ! Vient là toi !
Il me redressa en m’attrapant par les cheveux tout en continuant de parler :
_ Si nous ne devions pas ramener tous les enfants au château tu serais mort depuis longtemps alors ne me met pas au défis…
Je ne me souviens plus exactement ce qu’il dit ensuite. La douleur était elle que les bruits m’arrivaient déformé et le temps passait au ralenti. Tous les hommes se rassemblèrent autour de moi. Ils me dévisageaient et semblaient s’interroger sur moi. J’essayais de comprendre mais sans succès. Finalement, je laissai tomber et m’évanouis une nouvelle fois.
Quand je me réveillais les premières lueurs du soleil s’élevaient dans le ciel. Ma vision était floue mais je distinguais plusieurs hommes assis. On m’avait apparemment déplacé dans une tente, et je senti le moelleux d’un matelas de paille. La situation avait complètement changée. J’écoutai des bribes d’une conversation entre soldat :
_ … aussi rebelle que son père ! dit l’un d’eux.
_ Oui ! Et puis la même tête ! Y a que ses yeux qui sont étranges…
_ M’en parle pas ! On dirait ceux des Vooxa !
_ Me dite pas que not’ prince a été ce foutre en l’air avec l’un d’eux !
Et ils éclatèrent de rire. Je me détournai de leur discussion et essaya de voir où j’étais. Il n’y avait aucune trace des autres enfants. Je commençais à sentir une odeur étrange, comme de la fumée mais mélangée à autre chose. Elle entrait par l’entrée qui était restée ouverte. L’odeur était si âpre que je toussai. Les hommes se retournèrent vers moi. Je restai immobile, espérant qu’ils croient que je dorme encore mais ma duperie ne marcha pas. Un homme plutôt mince s’approcha de moi, un bol de bouillon fumant à la main.
_ Petit ? Tu es réveillé ?
Il approcha sa main de mon front. Alors je me réfugiai sous une couverture que je n’avais pas remarqué jusque là. La peur me cisaillait le ventre. Je maintenais dans mes petites main la couverture mais je senti la main de l’homme qui l’attrapait pour la retirer. Je me recroquevillai, abandonnant mon bouclier au soldat. Il parla d’une voix qui se voulait rassurante mais je n’avais aucune confiance en lui.
_ Petit ! Je ne te veux aucun mal ! Je veux t’aider ! Regarde : je t’ai apporté du bouillon ! N’as-tu pas faim ?
Je fis non de la tête et me fis encore plus petit. Il soupira, laissa le bol près de moi et retourna vers ses compagnons. J’essayais d’analyser à nouveau la situation : il y avait quatre personnes sous la tente autour d’un petit feu. Trois me tournaient le dos et ils me cachaient du dernier soldat. Je me trouvais en face de la sortie, contre l’un des murs. Je glissai ma main entre le matelas de pain et le sol et trouva un interstice. La tente n’était pas enterrée dans le sol et ma petite taille ma laissa penser que je pourrais m’y glissé et tenta ma chance. Je passai d’abord un bras et une jambe et décala ensuite le reste de mon corps. Je faisais passer ma deuxième jambe quand un main m’attrapa par le poigné encore à l’intérieur et me ramena sur le matelas.
_ Toi, tu essayes de t’enfuir !
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeJeu 9 Juin - 16:27

alors la suite la suite Razz
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeJeu 9 Juin - 21:27

T'as peur hein? suspense suspense..... king Bon aller d'acoord ... voilà la suite!


_ Toi, tu essayes de t’enfuir !
Il m’entraina près du feu.
_ Vient plutôt avec nous tu verras qu’on n’est pas méchant.
Le mouvement brusque qu’il effectua pour me ramener auprès des gardes réveilla mes blessures de la veille. Je poussai un gémissement qui adoucit la poigne du soldat mais je ne réussi pas à m’en défaire pour autant. Il m’assit à côté de lui et me mis un bol de bouillon dans les mains. Voyant que je le regardais d’un air suspect, il en bu une gorgé, sans doute pour me prouver qu’il n’était pas empoisonné, puis me le redonna. J’attendis encore quelques minutes, observant la vapeur qui s’échappait du bol, puis je bu à grande gorgée. Je ne mettais pas rendu compte que j’avais si faim. L’odeur du fumet et son gout dans ma bouche réveilla en moi un appétit vorace. Un garde me servit un nouveau bol et je n’hésitai pas : je lui pris des bains et avala tout le contenu, ce qui les fit rigoler.
_ Tu vois que t’avais faim ! C’est que t’en as un appétit !
Mon repas terminé, je les regardais un par un. Ils étaient grands et musclés, ce qui semblait normal puisqu’il faisait parti de l’armée. Leur regard était fugitif comme s’ils avaient peur du mien. Sur leur chemise, ils portaient le loup blanc qui hurlait à la mort, couleur du roi. Celui qui m’avait rattrapé était habillé différemment, avec une chemise rouge et un pantalon noir. Il était aussi mieux coiffé et semblait plus frais que les autres. Il était surement leur chef. Leur comportement avait complètement changé depuis la veille où ils détruisaient la ville et massacraient ses habitants. Aucun ne me menaçait de coup et quand j’avais essayé de m’enfuir, ils n’avaient fait que me ramener près du feu et me donner à manger.
Un soldat entra dans la tente et attendit qu’ont le regarde pour parler :
_ Monsieur, le nettoyage est fait. Nous pouvons repartir Maître Thierry.
_ Il ne reste rien ? demanda son chef.
_ Non rien.
Il me jeta un coup d’œil rapide et son regard revint sur mon garde.
_ Vient-il avec nous ? Il reste une place sur le cheval de Sagace.
_ Non c’est bon. Il voyagera avec moi.
Leur échange s’arrêta là, mais une effervescence agita la tente. Le feu fut éteint, le matelas sorti et la tente fut démontée plus rapidement que je ne l’aurais imaginé. Ces hommes avaient l’habitude de voyager. Quant à moi je restais près de maître Thierry et observais mon village détruit. Nous nous trouvions sur la place principale, où se tenait habituellement le marché. J’aperçu au loin une montagne de bois calciné et il me semblait que l’odeur de fumée en provenait. J’étais déchiré de voir mon quotidien ainsi torturé et piétiné, mais j’avais encore plus peur de l’avenir. Je regardais mon gardien et osait lui demander s’il ne fallait pas chercher les survivants. Il éclata de rire.
_ Quel survivant ? Ils sont tous morts mon petit.
Je n’osais pas répondre et plongea mon regard dans le lointain, essayant de nier ce qu’il venait de me dire. Mes yeux s’emplir de larme mais je ne reniflai pas de peur d’attirer l’intention sur moi. J’étais persuadé qu’ils allaient me tuer et je ne savais pas ce qu’ils attendaient. Je tremblais et ma respiration était difficile, mes pensée étaient toutes tournées vers une fin prochaine, la peur de l’au-delà. Toutes les histoires d’âmes errantes et d’enfer refaisaient surface dans ma petite tête. Malgré mes yeux ouverts, je ne voyais rien.
Je senti qu’on me secoua. Je sorti de ma torpeur pour voir Thierry, la main sur mon épaule, prêt à me gifler. Je fis trois pas en arrière, me protégeant le visage avec mes mains et le supplia de ne pas me tuer. Son regard plein d’incompréhension me fit reculer encore. Mais il me retint par le poignet et doucement il me ramena vers lui. Quand je fus assez proche, il me regarda d’un air désolé et essaya de me rassurer :
_ Je ne veux pas te tuer. Je veux te protéger. Tu ne dois pas avoir peur de moi.
Il avait l’air s’insère mais je restais vigilant. Je m’attendais à recevoir un coup à tout moment et tous mes muscles, autant que j’en avais au moins, restaient tendus. Les yeux grands ouverts, je ne quittais pas le visage de Maître Thierry. Il soupira, se redressa et héla un de ces hommes :
_ Les préparatifs sont terminés ?
_ Presque Maître Thierry.
_ Très bien. Apportez-moi ma carriole alors. Je la conduirais moi-même pour le retour. Et ajoutez des couvertures et des provisions pour le petit.
La charrette fut rapidement menée jusqu’à lui. Elle était plus grande que celle que je connaissais et un toit en tissus recouvrait le coffre. Un cheval la tractait. Il me semblait très grand, et en effet, un de ses sabots aurait suffi à me défoncer le crâne. J’étais fasciné par cette bête autant qu’elle me terrifiait.
_ C’est un cheval calme tu verras. Tu n’as rien à craindre d’elle.
Je jetais un regard rapide au Maître Thierry et décida de ne pas m’en approcher malgré son accord. Il me fit grimper à l’avant de la charrette. Le banc en bois n’était pas très confortable mais je ne me plaignis pas. Cependant, le convoi ne partit pas tout de suite. L’après-midi était bien entamée quand un homme me tendit un marceau de viande boucané. Je mangeais très rarement de viande. Mes repas étaient le plus souvent constitués de pain et de gruau. La sensation fut très étrange et je détestai le gout qui resta ensuite dans ma bouche. Cependant, il m’avait prévenu que je n’aurais rien d’autre à manger avant quelques temps et je mangeais le bout de viande en entier. Peu de temps après, les premiers soldats avançaient, et le cheval placide qui tirait notre charrette se mit en route lui aussi. Nous passâmes devant la montagne de cendre. Je pu l’observée de plus près et aperçu des pieds et des mains humains calcinés. J’eu un hoquet de surprise et Maître Thierry me fora à regarder ailleurs en pestant contre ses hommes. Mais jamais je n’oublierais cette odeur et cette vision.
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeJeu 9 Juin - 21:28

En fait vous aimez? vous m'avez rien dit sur vos impression! silent
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeVen 10 Juin - 19:31

Et ben ton histoire est géniale encore une fois Shocked
J'ai de la concurrence lol!
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeVen 10 Juin - 21:45

Ah merci ^^ moi j'attend la suite de la tienne! ^^ Et puis ça m'a remotivé à écrire de vous la faire lire! Meme si pour l'instant je lit plus quand j'ai du temps à perdre!
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeLun 13 Juin - 20:56

moi j'adors <3

La suite maestrooooo cheers
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 18 Juin - 10:41

Je ne savais pas où ils me conduisaient, ni combien de temps cela prendrait. N’étant jamais sorti de Finage, je découvrais un monde nouveau. Un paysage de colline s’offrit à moi. Des moutons paissaient au loin, cherchant l’ombre auprès d’arbres isolés. Ces moutons appartenaient au berger de Finage et un instant, je me demandais ce qu’ils allaient devenir. Je le connaissais bien. Il me parlait souvent de ses périples dans la campagne lointaine et des autres villages qu’il rencontrait lorsqu’il partait en pâtures.
_ Petit ? tu m’entends ?
Je me retournais vers le soldat. Il me sourit et me demanda à quoi je pensais. Je ne lui répondis pas alors il me demandait mon nom. Je n’avais pas envi de lui parler. Malgré son air chaleureux, il ne m’inspirait aucune confiance et il du le sentir car il se mit à me parler sans attendre de réponse :
_ Moi je m’appelle Thierry. C’est moi qui vais m’occuper de toi maintenant. Je suis sûr qu’on peut s’entendre tous les deux ! Donne moi une chance. Si tu ne veux pas me donner ton prénom, je peux peut être t’en inventer hein ! Qu’est ce que tu en penses ? … Tu ne veux pas me parler ? Bon alors… Kam ! que dis-tu de cela ?
Il soupira et n’essaya plus de discuter. Le paysage n’avait pas changé de l’après-midi. Il me semblait voir les mêmes arbres et les mêmes moutons qui se répétaient indéfiniment. Je commençais à somnoler quand la charrette s’arrêta. Les hommes devant nous étaient descendus de leur monture et commençait à les attacher ou à préparer le camp. Plusieurs feux furent allumés et des marmites d’eau suspendues au-dessus. Ils jetèrent dedans quelques légumes et du grain.
J’attendis que Thierry me demande de descendre et m’indique un endroit où me poser, puis je restais assis à regarder les gardes discuter. Je ne voulais penser à rien mais cela n’était pas possible. Mon esprit se tournait soit vers les ruines de mon village, soit vers l’avenir terrifiant qui se présentait à moi. Un garde s’approcha de moi, une chaussette enfilée sur sa main mise en évidence. Il bougea la main de manière à donner l’impression que c’était elle qui parlait :
_ Bonjour ! Moi c’est Chaussette ! T’es nouveau ?
Je la regardais à peine mais il continua son petit jeu :
_ Si tu veux on peut chanter une petite chanson : Les petits moutons qui traverse la forêt ! Tu la connais j’en suis sûr !
Et il se mis à chantonner cet air qu’on apprenait aux enfants dans les premières années. Je n’avait pas échapper à la règle mais je ne chantais pas. Je voulais qu’il me laisse tranquille. Mais une fois la chanson terminée, il en entonna une autre que je ne connaissais pas. Elle parlait d’un jeune garçon parti à l’aventure et qui ne retrouva jamais le chemin de sa maison. Après quoi il trouva une femme et un travail. L’histoire fini sur sa mort, il devient un fantôme et retrouve ses parents qui l’attendaient. Voyant que je ne le suivais toujours pas, il fit la moue, repris sa chaussette et recommença à me parler :
_ Mes chansons ne te plaisent pas ? Elles ont pourtant rendu le sourire à plus d’un ! Tu es triste ?
Cette fois, je le regarda. L’intonation de sa voix m’avait semblée sincère et l’inquiétude y perçait. Je fis ou ide la tête. Jamais la bouche pâteuse à force de ne pas l’ouvrir et la sensation était désagréable.
_ Ah ! Pauvre petit ! s’exclama-t-il, tu sais, il faut pas nous en vouloir ! Nous sommes ta nouvelle famille maintenant. On ne remplace pas l’autre, on l’agrandit ! Fais moi confiance ça va te plaire ! Aller vient près du feu !
Il attendit mon accord et me pris la main pour me guider dans le noir. Je trébucha plusieurs fois mais le soldat me rattrapait à chaque fois. Sur le chemin, il me dit s’appeler Veck. Il avait une femme et deux enfants qui l’attendaient à Vallée d’Or et qu’il lui manquait terriblement. C’était dans ces moments-là qu’il aimait la compagnie des autres soldats. Nous arrivâmes près du bivouac ou un groupe d’homme discutait bruyamment. Veck avertit de notre présence :
_ Regardez qui je ramène !
Les hommes se retournèrent et tous se turent à ma vue. Leur regard se tourna ensuite vers Veck :
_ Mais qu’est ce qui t’as pris ? Si maître Thierry le voit ici on va être privé de solde !
_ Il a raison ! Laisse-le là où il était et vient prendre ton bol !
Il semblait tous être contre ma présence et j’attendais que Veck me ramène mais au contraire, il insista :
_ Mettez vous dans sa situation ! Le pauvre est seul, dans un endroit inconnu et il connait personne. En plus je suis sûr qu’il meure de faim.
Et sans laisser aux autres le temps de le contester, il nous fit une place près du feu et me tendit un bol de gruau. Je commençais à la boire et cela me ragaillardi un peu. Je commençais à suivre les conversations quand Veck vit l’intention que je leur portais. Il passa son bras derrière mes épaules et me présenta le groupe.
_ Lui c’est Touf ! On l’appelle comme ça à cause de ses cheveux ! Regarde le volume ! A côté c’est Mouche, et lui c’est Ridok ! Et le dernier, qui ne parle pas beaucoup, c’est Tess. On rigole bien ensemble et si tu veux tu peux rester avec nous ce soir !
Chacun m’avait fait un signe à la citation de leur nom mais je n’avais pas tout retenu. Touf me paraissait moins hostile que les autres et c’était le seul dont j’avais retenu le prénom. D’ailleurs c’est le premier qui m’adressa la parole :
_ Et toi, c’est quoi ton nom ?
Je haussais les épaules.
_ J’ai entendu Maître Thierry l’appelé Kam tout à l’heure !
_ Kam ? Ce n’est pas le nom d’un chien ça ? demanda Ridock sans tact.
_ Hey pas du tout ! ça te va très bien Kam ! Me rassura Veck, tient reprend un peu de bouillon t’en auras besoin !
Et il rempli mon bol d’une bonne louche en rigolant. Je commençais à les apprécier. Ils m’avaient rapidement accepté dans leur groupe malgré l’interdiction de leur supérieur et s’adressaient à moi comme s’ils me connaissaient depuis toujours. Même si je ne répondais que par des petits signes, ils tentaient de mieux me connaître. Ils s’amusaient à me poser des questions pour deviner des traits de ma personnalité. Ils découvrirent que j’avais cinq ans, que j’avais peur des loups et que je n’aimais pas aller chercher les œufs dans le poulailler. A chaque nouveau thème, ils avaient tous une histoire à raconter. Un animal dont ils se souvenaient les aventures, un fils de cinq ans qui les attendaient chez eux ou même une battue dans les collines qui entourent Douve, la capitale royale. Je réussi à sourire à certaines de leur histoire, ce qui les rendait si fier qu’ils redoublaient d’effort pour me mettre à l’aise. Veck me mit même son manteau sur les épaules quand il vit que j’avais froid et, quand mes yeux commencèrent à se fermer malgré ma volonté, Ridock étala son manteau par terre pour que je ne m’endorme pas sur le sol nu.
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 18 Juin - 10:41

J'en ai mis beaucoup la! ^^" bonne lecture >_< king
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 18 Juin - 11:15

Salut moi c'est chausette ! lol!
Tu veut mes tongues ? cheers
Géniale ton histoire Smile encore et toujours Wink
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 18 Juin - 13:19

non je veux pas tes tongues d'abord!!! >_<
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitimeSam 18 Juin - 16:02

Je ne fesait que citer ton magnifique récit alien

Bonjour ! Moi c’est Chaussette ! T’es nouveau ?
Je la regardais à peine mais il continua son petit jeu (...)

Je parle de tongue en rapport avec ton histoire Very Happy

Mais bon , je pense que tu n'est pas dupe Twisted Evil
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MessageSujet: Re: l'histoire de Kamm   l'histoire de Kamm I_icon_minitime

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